Je vous propose de découvrir l’histoire de l’ancien tramway de Tours à travers des documents issus du livre de Jean Chédaille « Tours – Le tramway ».
Tickets vers 1900 :
Bouillotte et régulateur de pression du tramway à air comprimé :
Ravitaillement en air comprimé à l’atelier :
Dans l’atelier de production d’air comprimé :
Place de la bouillotte dans les machines :
A la fin du XIXème siècle, un tram hippomobile déambulant quand du Vieux-Pont (quai Paul Bert) sensiblement à l’endroit de la séparation actuelle voie sur berge :
Un des premiers tram à vapeur, de la ligne de Vouvray, franchit le pont de Pierre avec un premier plan un rémouleur :
Une motrice Serpollet de 1893 en voie normale, roule sur le pont de Pierre en direction du centre de Tours :
La gare de Fondettes, le 18 août 1907 : on voit au premier plan le tram de Tours qui a transporté les personnalités et en arrière-plan un train des chemins de fer départementaux :
Un tram de Vouvray s’engageant au sortir du pont de Pierre, sur le quai du Vieux Pont. Il est tiré par une loco à vapeur Saint-Léonard. Sont attelées deux remorques, dont l’une à trois essieux, et l’autre, une ex-Rowan, sans moteur :
Locomotive Saint-Léonard dans un décor vouvrillon, sur fond de château d’eau, d’ateliers et de remorques :
Un décor qui a bien changé, le virage « gastronomique » de l’entrée de Vouvray ! On y voit arriver une Saint-Léonard à vapeur avec sa remorque, une ex-Rowan :
Une vue de la gare de Vouvray, avec une machine Saint-Léonard, une première remorque ex-Rowan transformée et une seconde à trois essieux :
Cette loco de tram porte des couvres-roues afin que les mouvements des bielles n’effraie pas les chevaux de Tours, photo de 1908 :
Devant la gare de Vouvray :
Vallières, en 1911, avec une locomotive de la CTT, série 11 à 13 :
Place du musée vers 1895 :
Tickets vers 1900 :
Motrice Thomson venant de Fondettes et traversant la Loire : le tram transportait toutes sortes de messageries y compris du fumier (au plus grand dam des habitants de la rue Nationale !) :
Rue Nationale :
En 1905, l’un des premiers tram électriques quitte le boulevard Heurteloup pour s’engager rue de La Fuye dans une courbe à rayon réduit :
Pont volant :
Des clients photographiés en mars 1921 dans la remorque n°10 devant le buffet de la gare de Vouvray :
M. le directeur, M. le sous-directeur et M. l’ingénieur de la Compagnie Tourangelle, posant pour le photographe dans la Ragheno n°44, le 30 mars 1921 :
Rue Nationale vers 1900 :
Une motrice Thomson-Saint-Denis devant l’ancienne bibliothèque :
Place Jean Jaurès vers 1900 :
Les motrices 34 et 35, spécialement destinées à la ligne de la Tranchée, ont une puissance accrue et des freins spéciaux :
La route du Mans vers 1910 :
Tramways et baladeuses pris d’assaut devant la gare pour embarquer les voyageurs à destination de la grande semaine de l’aviation de l’île de la Gloriette :
Les chemins de fer départemental en gare de Ligueil :
Même commentaire en gare d’Esvres :
Le tram dans Saint-Avertin à la Belle époque :
En 1878 non loin de l’hôtel de Ville, cette voiture a été construite en Belgique :
Une motrice Serpollet rue Nationale entre 1895 et 1900 :
Motrice Rowan, de fabrication Anglaise avec une remorque à impériale sur le pont de Pierre en direction de Vouvray :
Une des 20 motrice Thomson-Saint-Denis :
Un ex-Rowan transformée en remorque fermée :
Une des 7 voitures motrice réfectionnée Thomson-Saint-Denis :
Une des 7 voitures motrice Regheno :
Une des 7 voitures motrice à l’entrée du dépôt de l’avenue de Grammont :
Une remorque fermée des lignes suburbaines :
Une des 10 remorques au pont de la Vendée :
Remorque d’un autre modèle photographiée avenue de Grammont au pont de Nantes :
Remorque de la ligne de Vouvray :
Remorque ex-Serpollet fut réfectionnées en usine, 6 voitures de ce type furent exploitées à Tours :
Une des 6 remorques « La Buire » :
Une autre type de remorque « La Buire » avenue de Grammont :
5 des 13 (en 1896 et 6 en 1894) remorques hippomobiles furent transformées en tram (remorque) :
Remorque du Tours-Vouvray à trois essieux, d’une série dite « annexes d’hiver » :
La Thomson-Saint-Denis n°16 dans sont état final :
Une des 6 baladeuses photographiée au pont de la Vendée :
Remorque ex-Rowan à voie normale transformée en remorque à voie métrique photographiée devant le buffet de la gare de Vouvray :
Une motrice La Buire avec 3 baladeuses au terminus de Saint-Avertin vers 1912/1914 :
Devant l’Opéra en 1905, on remarquera l’absence de LAC mais plutôt les plots Diatto (ancêtre de l’APS) :
Rare photo de la pose de ces plots avenue de Grammont au niveau du n°22, à droite une Serpollet sur voie provisoire et tout au fond l’hôtel de Ville en construction :
Devant la motrice Thomson-Saint-Denis à son terminus face à l’hôpital Bretonneau, une équipe complète de la ligne B : au centre le conducteur, Maurice Barny, à gauche, le contrôleur et à droite le receveur :
La conducteur Maurice Barny et son receveur d’un jour :
Sur l’une des baladeuses, Antoinette Bonnet, une employée du tram Tourangeau :
Le dépôt des tram après le bombardement du 20 mai 1944, on peut voir relativement épargnées, la motrice n°5, les remorques ouvertes 125 et 105, la remorque fermée n°120, la motrice Ragheno n°49 et le Thomson-Saint-Denis n°2, d’autres véhicules furent détruits :
En mars 1921, une photo du dépôt après sa restauration sommaire. On aperçoit les motrices Ragheno n°49 et 50, tout à droite un Chausson APH1 : le reconversion est en train de se faire et sera terminée en septembre de cette même année :
Une motrice Buire transformée en 1934/1935 pour la ligne de la Tranchée passe devant l’hôtel de Ville, par un temps maussade, nous sommes en mars 1949 :
Le matériel électrique de ce réseau, au terminus de l’hôpital, dans son dernier état, en mars 1949.
On peut remarquer les plaques des terminus : l’une est Edouard Vaillant, l’autre porte encore l’ancienne dénomination rue de Paris, donnée entre 1940 et 1945. Vaillant était un marxiste convaincu, peu en odeur de sainteté pendant l’occupation :
Place Thiers, une motrice La Buire transformée après guerre lors de sa première sortie :
La fin d’une belle aventure : ce tramway photographié place Jean Jaurès en mars 1949 disparaîtra six mois plus tard :
Un groupe de femme de la CTT au début de la seconde guerre mondiale :
Cette wattwoman manoeuvre une dernière fois l’aiguille avant d’envoyer le vieux tram au dépôt : c’est fini !
Le dernier tramway Tourangeau; quelques badauds souriants, d’autres songeurs. Une page de l’histoire locale est tournée, nous sommes le 14 septembre 1949 :
Eté 1950, au milieu des immeubles de la rue Nationale en reconstruction, on dépose les rails , au premier plan à gauche : la chaudière à bitume :
Un tramway descend la Tranchée, seul une contre-allée est utilisée, comme on peut le voir sur ce document :
Un tram à vapeur de marque Rowan de la ligne de Vouvray, vire à l’entrée du pont de Pierre :
La place du Musée vers 1895, on voit un tram hippomobile et une automotrice de transition de marque Serpollet sur une voie large de 1,44 m :
Au début du XXème le kisoque des trams place de l’hôtel de Ville. Une motrice Thomson de la ligne B :
Une motrice Thomson de la ligne D :
Le tram et ses baladeuses place de la République (Victoire) :
Une Thomson de la ligne C dans le quartier des Halles :
Place du musée, une motrice de la ligne D, motrice et remarque de la A, train pour Luynes au temps de la vapeur :
L’usine électrique des trams photographiée du pont de Nantes, elle sera bombardée en mai 44 :
Motrice Thomson n°26 au terminus de Pont Cher (vers 1911) :
Une Ragheno avec attelage pour les wagons de marchandises des C.F.D au début du siècle :
En 1905, une motrice Thomson-Saint-Denis montant vers le Nord place JJ :
Un tram de la ligne A :
Les perches du tramway ne servent à rien sur ce passage du pont de Pierre équipé de plots Diatto :
Dans les années 30, la motrice Thomson n°33 arrive place Anatole France :
L’arrêt du tram A, place du Palais :
Une motrice Buire en 1910 au niveau de la barrière de Grammont (actuel carrefour de Verdun) :
La gare d’Azay-sur-Cher avec une motrice Buire et ses wagons de marchandises :
Motrice Thomson au terminus de Saint-Avertin avec au fond une échelle d’entretien :
En 1912, le jour de l’inauguration du tram d’Azay-sur-Cher. On y voit la seule remorque à boogies de Tours :
A Larçay une motrice Buire à l’entrée du Bourg :
A Fondettes, la gare CFD et celle des trams :
Près des jardins et des bosquets, le tram de St-Av. :
Vers 1920/25 le tram de Vouvray avec une remorque ex-Serpollet-Decauville attelée à une motrice La Buire :
A gauche une camionnette Renault de la CTT stationnée sur le pont du Sanitas pour l’entretien des LAC, à droite une plateforme sur wagon du même exploitant pour la même utilité :
En septembre 1949 une motrice portant la plaque « Rue de Paris » circule rue de la Fuye sous les LAC du futur trolleybus qui n’est pas encore en service :
Curieuse photographie avec, sur le pont de Pierre, en juillet 48 un autorail Billard A-80 des CFD fabriqué à Tours et une motrice Thomson :
La conductrice et la receveuse d’un équipage féminin :
Bonne soirée,
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